H.S. - J.R.A.D. 8 (déjà !)
Posted: Thu, 7. Feb 08, 14:40
JRAD...
Ô JRAD, lieu de l'éternel recommencement, combien n'as tu pas vu se passer de cycles ?
Toi qui toujours nous réuni autour de l'amour de la réthorique,
Ne trouve tu pas nos dérives éternelles magnifiques,
Lorsque nos mots nous font oublier le monde tragique ?
En ton sein se sont croisés moult poètes et philosophes
Mais jamais aucun n'est ressorti d'ici sain et sauf.
Tes méandres nous entraînent par delà les frontières
Pour goûter aux joies de la paix et de la guerre.
Tantôt pro boron, tantôt anti argon, souvent anti cons
Ceux qui te côtoient sont atteints pour de bon
Par ce mal séculier que tu sais si bien distiller,
L'amour du flood, du bon mot, de la blague éculée
Qui a tout jamais ont soudé les malheureux, victimes que nous sommes,
Des machines infernales du Doc, nous transformant en bêtes, en somme.
Bêtes heureuses de servir la grandeur décadente
D'une médecine louche, loufoque et balbutiante.
Même si ses holodecks ne soignent aucun mot, bien au contraire,
Il sait depuis toujours égrenner en ces lieux, des perles salutaires.
Merci à lui, merci aux vieux et aux nouveaux, merci à tous
D'avoir fait qu'en ces lieux : "pierre qui roule amasse mousse".
Continuez de broder autour de sujets si peu sérieux, dérivez mes amis, dérivez je vous dit !
Car c'est ici réellement que commencent les cycles de la vie
Au commencenment était le rire, merci de toujours recommencer.
Eructite
Ô JRAD, lieu de l'éternel recommencement, combien n'as tu pas vu se passer de cycles ?
Toi qui toujours nous réuni autour de l'amour de la réthorique,
Ne trouve tu pas nos dérives éternelles magnifiques,
Lorsque nos mots nous font oublier le monde tragique ?
En ton sein se sont croisés moult poètes et philosophes
Mais jamais aucun n'est ressorti d'ici sain et sauf.
Tes méandres nous entraînent par delà les frontières
Pour goûter aux joies de la paix et de la guerre.
Tantôt pro boron, tantôt anti argon, souvent anti cons
Ceux qui te côtoient sont atteints pour de bon
Par ce mal séculier que tu sais si bien distiller,
L'amour du flood, du bon mot, de la blague éculée
Qui a tout jamais ont soudé les malheureux, victimes que nous sommes,
Des machines infernales du Doc, nous transformant en bêtes, en somme.
Bêtes heureuses de servir la grandeur décadente
D'une médecine louche, loufoque et balbutiante.
Même si ses holodecks ne soignent aucun mot, bien au contraire,
Il sait depuis toujours égrenner en ces lieux, des perles salutaires.
Merci à lui, merci aux vieux et aux nouveaux, merci à tous
D'avoir fait qu'en ces lieux : "pierre qui roule amasse mousse".
Continuez de broder autour de sujets si peu sérieux, dérivez mes amis, dérivez je vous dit !
Car c'est ici réellement que commencent les cycles de la vie
Au commencenment était le rire, merci de toujours recommencer.
Eructite
j'ai maintenant l'honneur et l'avantage de le suivre pour cette somptueuse inauguration.
... Mais où est passé le Doc' ?